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Entrevue avec Arzubadel
Fraction du premier "Fils" de Phenex, Arzubadel est un des nombreux Zélote composant le Dumu de ce-dernier. Ombre grinçante en directe opposition physique des siens, préférant de loin vivre parmi les ténèbres. Pourtant, il n'est pas un moins digne représentant de la lumière de Melek Taus, puisqu'il puise dans cette dernière la source même de ses pouvoirs. Il s'est attribué le rôle de veilleur et d'archiviste en tant que créature plusieurs fois millénaire à la mémoire eidétique. Son amour du changement le tend vers le chaos, mais pas l'anarchie instantanée qui se voit remplacé par l'ordre : Celui qui évolue, constamment, peu importe le temps que cela prend.
❖ Quelles sont tes propres limites ? Qu'es-tu incapable de faire ou que te refuses-tu d'accomplir ?
Mes limites ne trouvent d'essences que dans le crépuscule de mon imagination. Il n'est rien dont je ne me souvienne pas depuis que je suis, aucune leçon, aucun apprentissage, aucune joie ni douleur qui soit effacé de ma mémoire. Ces fondations m'ont permis, tout au long de ma vie, de considérer quelle est la manifestation de ce que je considère possible et son opposé. J'ai du exclure, pas à pas, durant des millénaires, ce qui ne correspondait pas à ce dont j'étais certain que ce fut bon pour moi et j'ai avancé sur la voie exclusives des choses qui m'apparaissaient accessibles. Lorsque j'ai enfin compris que mon chemin, le malheur tout comme le bonheur que j'y ai accumulé, était une création intégrale de mes propres actes, tout devint beaucoup plus clair.
Mes limites se trouvaient dans mon inconscient, des murs imprenables et pour cause, puisque j'en ignorais même l'existence. Ainsi, à chaque fois que je me heurte à ces frontières invisible, que je ressens ou que l'on me renvoie l'étriqué de mon esprit, je fais face. Aussi longtemps que nécessaire, jusqu'à la prise de conscience, à cette lumière intérieure qui éclairera cette zone d'ombre de néant et d'inconnu. De ce regard nouveau surviennent de nouvelles choses, détails, compréhensions : Je vois plus loin, plus grand... Mieux. Ce regard, neuf, ne s'oriente plus que vers un point dès lors : Le changement. Il n'y a plus de question à se poser : la voie découverte est plus large, plus simple, plus libre et je l'emprunte sans plus me poser de question.
Ainsi, puisque je ne reproduis plus les mêmes canevas, le résultat de mes actes s'en trouve bouleversé. Je crée ma propre et nouvelle réalité depuis ce point de vu auquel j'ai donné naissance. Cette nouvelle réalité me permet de transcender mes limites et d'en créer d'autres par la même occasion que je finirai, tôt ou tard, par devoir dépasser. Il n'est pas question là de capacité. La seule chose que je puisse me refuser est de ne faire confiance qu'en mes propres prouesses. Ce monde est vaste, bien plus peuplé qu'on ne veut bien le penser : Si je ne suis pas capable de briser mes propres chaînes, quelqu'un ou quelque chose saura le faire pour moi et me permettra, derechef, de franchir le seuil de mes propres limites. Aussi ne pourraient-elles exister que si je les considère imprenables, me poussant à faire demi tour, à retrouver les sentiers battus par mes pas, les cycles dans lesquels je pourrais me conforter...
Mais cela, je me l'interdis à tout jamais.
❖ Titre de question :
Réponse.
❖ Titre de question :
Réponse.
Dernière édition par Arzubadel le Ven 12 Juin - 11:49, édité 4 fois
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Age : Antique
Génération : Séide par absorption
Occupation : Conquérant
Pouvoirs : Abyssum Irent Ψ Umbra Edax Rerum Ψ Forma Nihil Ψ Deus Tenebris
Thème : What you call Darkness is the end of your evolution...
DC : Clunk
Quelles sont tes propres limites ? Qu'es-tu incapable de faire ou que te refuses-tu d'accomplir ?
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Occupation : Artiste, chercheur, récupérateur, informateur, maître espion, Architecte de la Cour des Miracles.
Thème : Songbird ♬
Mes limites ne trouvent d'essences que dans le crépuscule de mon imagination. Il n'est rien dont je ne me souvienne pas depuis que je suis, aucune leçon, aucun apprentissage, aucune joie ni douleur qui soit effacé de ma mémoire. Ces fondations m'ont permis, tout au long de ma vie, de considérer quelle est la manifestation de ce que je considère possible et son opposé. J'ai du exclure, pas à pas, durant des millénaires, ce qui ne correspondait pas à ce dont j'étais certain que ce fut bon pour moi et j'ai avancé sur la voie exclusives des choses qui m'apparaissaient accessibles. Lorsque j'ai enfin compris que mon chemin, le malheur tout comme le bonheur que j'y ai accumulé, était une création intégrale de mes propres actes, tout devint beaucoup plus clair.
Mes limites se trouvaient dans mon inconscient, des murs imprenables et pour cause, puisque j'en ignorais même l'existence. Ainsi, à chaque fois que je me heurte à ces frontières invisible, que je ressens ou que l'on me renvoie l'étriqué de mon esprit, je fais face. Aussi longtemps que nécessaire, jusqu'à la prise de conscience, à cette lumière intérieure qui éclairera cette zone d'ombre de néant et d'inconnu. De ce regard nouveau surviennent de nouvelles choses, détails, compréhensions : Je vois plus loin, plus grand... Mieux. Ce regard, neuf, ne s'oriente plus que vers un point dès lors : Le changement. Il n'y a plus de question à se poser : la voie découverte est plus large, plus simple, plus libre et je l'emprunte sans plus me poser de question.
Ainsi, puisque je ne reproduis plus les mêmes canevas, le résultat de mes actes s'en trouve bouleversé. Je crée ma propre et nouvelle réalité depuis ce point de vu auquel j'ai donné naissance. Cette nouvelle réalité me permet de transcender mes limites et d'en créer d'autres par la même occasion que je finirai, tôt ou tard, par devoir dépasser. Il n'est pas question là de capacité. La seule chose que je puisse me refuser est de ne faire confiance qu'en mes propres prouesses. Ce monde est vaste, bien plus peuplé qu'on ne veut bien le penser : Si je ne suis pas capable de briser mes propres chaînes, quelqu'un ou quelque chose saura le faire pour moi et me permettra, derechef, de franchir le seuil de mes propres limites. Aussi ne pourraient-elles exister que si je les considère imprenables, me poussant à faire demi tour, à retrouver les sentiers battus par mes pas, les cycles dans lesquels je pourrais me conforter...
Mais cela, je me l'interdis à tout jamais.
Mes limites se trouvaient dans mon inconscient, des murs imprenables et pour cause, puisque j'en ignorais même l'existence. Ainsi, à chaque fois que je me heurte à ces frontières invisible, que je ressens ou que l'on me renvoie l'étriqué de mon esprit, je fais face. Aussi longtemps que nécessaire, jusqu'à la prise de conscience, à cette lumière intérieure qui éclairera cette zone d'ombre de néant et d'inconnu. De ce regard nouveau surviennent de nouvelles choses, détails, compréhensions : Je vois plus loin, plus grand... Mieux. Ce regard, neuf, ne s'oriente plus que vers un point dès lors : Le changement. Il n'y a plus de question à se poser : la voie découverte est plus large, plus simple, plus libre et je l'emprunte sans plus me poser de question.
Ainsi, puisque je ne reproduis plus les mêmes canevas, le résultat de mes actes s'en trouve bouleversé. Je crée ma propre et nouvelle réalité depuis ce point de vu auquel j'ai donné naissance. Cette nouvelle réalité me permet de transcender mes limites et d'en créer d'autres par la même occasion que je finirai, tôt ou tard, par devoir dépasser. Il n'est pas question là de capacité. La seule chose que je puisse me refuser est de ne faire confiance qu'en mes propres prouesses. Ce monde est vaste, bien plus peuplé qu'on ne veut bien le penser : Si je ne suis pas capable de briser mes propres chaînes, quelqu'un ou quelque chose saura le faire pour moi et me permettra, derechef, de franchir le seuil de mes propres limites. Aussi ne pourraient-elles exister que si je les considère imprenables, me poussant à faire demi tour, à retrouver les sentiers battus par mes pas, les cycles dans lesquels je pourrais me conforter...
Mais cela, je me l'interdis à tout jamais.
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